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Marius BAR naît en 1862. Sa famille s’installe à Toulon et le met en apprentissage chez le photographe Pélissier, puis en 1879 chez le peintre photographe Lina Bonnot (dit L. Bill), qui sera son véritable maître, lui donnant un vrai regard d’artiste.

En 1886, il ouvre un atelier de photographie au 15 place Puget. Là, le rez-de-chaussée est réservé au magasin, le premier étage au logement et le dernier à l’atelier et au salon de pose qui bénéficie d’un bel éclairage naturel, nécessaire pour les portraits.

En effet, démocratisé dès le Second Empire, le portrait photographique touche rapidement toutes les classes de la société et chacun peut désormais posséder, pour quelques sous, une image de soi que l’on compte bien léguer à la postérité. Et, si le réalisme de certains visages peut choquer, les retoucheurs corrigent pour un modeste supplément les erreurs de la

Nature. Notables toulonnais ou simples employés, célébrités de passage et actrices en tournée, tous passent par son atelier.

Au début, il s’associe avec le photographe Paul Couadou. Mais, assez vite, ce dernier s’installe à son compte et déménage son atelier rue de Lorgues. Car Marius Bar est loin d’être le seul photographe de la ville. A la fin des années 1890, on en recense pas moins de onze sur la ville sans compter les trois négoces de fournitures pour photographie. […] A la disparition de Marius Bar, on recense une trentaine de photographes installés à Toulon, preuve que si la photographie amateur se développe, la profession garde encore de beaux jours devant elle.

Loin de se contenter de cette activité de portraitiste, Marius Bar parcourt les moindres recoins de Toulon et de ses alentours, photographiant tout autant les monuments d’une ville en pleine mutation que le charme pittoresque de ses habitants et leur vie quotidienne. Rien ne lui échappe, des grands évènements, comme la visite de l’Escadre russe ou la venue du Président Fallières, en passant par les dernières diligences, les premières automobiles, l’animation populaire du marché ou les élégances du boulevard de Strasbourg.

Passionné par la mer, Toulon lui offre un cadre idéal. Toute sa vie il va photographier les vaisseaux et la vie quotidienne des équipages de la Marine, les premiers sous-marins, les pêcheurs au travail, les tartanes à voile latine…

Il reçoit des commandes de reportages de la Marine, devient correspondant pour l’Illustration, ou pour des ouvrages spécialisés sur les navires de guerre comme les Flottes de Combat, publiés à partir de 1897 par le Commandant de Balincourt pour la Société Géographique Maritime et Coloniale, ou son équivalent britannique, le Jane’s Fighting Ships.

Parallèlement il est aussi le photographe officiel de la ligne de chemin de fer du Sud France, dont la compagnie et les gares ont aujourd’hui disparu.

En 1906 il déménage pour des locaux plus vastes et mieux adaptés dans le quartier de St-Jean-du-Var, au 47 avenue Marceau : Le Clos des Lumières.

Très tôt intéressé par l’édition, il se lance dans la production de cartes postales. Les faisant dans un premier temps imprimer à Lyon, il acquiert rapidement une machine pouvant imprimer 16 cartes postales sur une feuille de format Jésus. Ainsi, il va pouvoir diffuser ses photographies à l’aide du procédé moins coûteux de la phototypie*. Tous les bazars de la ville et les coopératives des unités de la Marine s’arrachent ces tirages bon marché.

Ce long parcours photographique lui donnera également la chance de croiser d’autres artistes qui deviendront ses amis, tels les peintres Victor Gensolen, Paulin Bertrand, Paul Léveré, François Nardi, les poètes François Armagnin, Théodore Botrel ou encore l’écrivain académicien Jean Aicard.

Ayant deux filles de son mariage en 1892 avec Claire Aiguier, il transmet sa passion à ses gendres, Messieurs Bernard et Milhaud. Aujourd’hui les Editions Photographiques Marius Bar continuent cette belle aventure photographique avec des outils modernes, tout en conservant précieusement un fonds documentaire riche de près de 134 ans d’existence.

*Phototypie : C’est un procédé d’impression à plat à l’encre grasse à l’aide d’une feuille de gélatine bichromatée et insolée sous un négatif.

Un bain fait ensuite gonfler les parties non insolées. Les creux des parties insolées prennent l’encre. La phototypie permet l’impression d’un document

photographique sans tramage.

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